La cité des chimères

La cité des chimères de Vania Prates

Date de parution: 2019
Nombre de pages: 442
Édition: Snag
Format: Broché
Prix: 18.00 euros
– prix kindle: 12.99 euros
Genre: Dystopie
Note personnelle: (note réelle: 3.25/5)

Résumé de l’éditeur

L’Ancien Monde a disparu. Londres laisse place à Lowndon Fields. Les hommes se sont organisés en guildes, guidés par leurs chi, leur nature profonde : la guilde des marchands, des inventeurs, des alchimistes, des immergeants, des guides.
L’homme tâche de vivre en harmonie avec la nature qui est laissée libre d’évoluer à sa guise partout où elle le souhaite : arbres, plantes envahissent les immeubles et les rues. Les animaux sont devenus des Gardiens, protecteurs des hommes et particulièrement respectés. Différentes guildes dirigent le nouveau monde. Grâce aux immergeants, il essaye de comprendre et d’éviter de faire les mêmes erreurs que leur ancêtre. Celeste, une jeune fille de 17 ans et qui ne connaît pas son Chi. Elle rencontre Calissa, une ancienne chimériste, dernière de son espèce. Elle découvre alors la confrérie des Sans Loi.

Début du livre:
« Le cri étouffé venant des étages inférieurs arracha Céleste à son sommeil.»

Fin du livre (attention potentiel spoiler):
« Et c’était la première fois qu’elle la tutoyait. »

Mon avis

Tout d’abord, merci à la maison d’édition Snag pour l’envoi de ce roman en service presse papier.

L’histoire : Nous sommes dans une nouvelle ère, Londres est devenu Lowndon Fields, une cité utopie où vivent chimères, guides, gardiens, alchimistes, mystificateurs et immergeants…

Dans ce monde, les Hommes ont trouvé un équilibre grâce à leur chi, l’équivalence de la nature profonde. Nous suivons particulièrement Céleste et Calissa. Céleste a dix sept ans et n’a toujours pas de chi. Calissa, elle, la mystérieuse contrebandière, va se retrouver dans une histoire assez complexe. Malheureusement, j’ai abandonné ce roman, en effet, je pense que ce n’était pas le bon moment et je ne saurai dire pourquoi, mais je n’arrivais pas à avancer. A la base, c’est pourtant un speech qui m’intéressait grandement.

Les personnages : Nous suivons donc en parallèle Calissa et Céleste. Tout d’abord, Céleste, j’ai bien aimé cette fille, elle est très attachante. Ensuite, il y a Calissa qui est une femme que j’ai préféré à Céleste car elle était un peu plus mystérieuse et sur le peu que j’ai lu, je préférais ses chapitres. Il y a également le dirigeant de Lowndown Fields. Ce personnage est à l’image d’un chef, assez mystérieux et strict, et j’ai eu du mal avec ce personnage.

La plume : J’ai vraiment bien aimé la plume de l’autrice car elle est travaillée et vraiment belle. Cependant, ce n’est pas ce qu’il me fallait à ce moment-là et cela ne m’a pas permis une lecture fluide et rythmée, au contraire, cela m’a freiné. Je continuerai de surveiller tout de même ce que propose l’autrice car peut être qu’un de ses livres saura me convaincre.

En résumé, c’est une énorme déception pour moi, cela arrive, la lecture c’est une rencontre et pour moi, ce livre n’était pas là au bon moment. Je vous recommande d’essayer de le lire malgré mon avis assez péjoratif, car je pense sincèrement que ce roman trouvera son public car l’univers crée est vraiment intéressant.

J’espère que cette chronique vous aura plu, je vous fais de gros bisous et vous souhaite de bonnes lectures les amis.